Où l'auteur a besoin d'expansion
Pas de gros travaux en cours pour le moment, si ce n'est l'élargissement du chemin d'accès au garage.
En effet, lors de la construction, l'empierrement menant à l'entrée du garage a été calculé au plus juste. Il manquait donc de la largeur pour pouvoir garer deux voitures côte à côte et ouvrir sans dommages les portières (et avec deux enfants "plein de vie", c'est pas du luxe !).
J'ai donc décaissé la terre sur 15cm environ, avant de combler cette tranchée par du "Zéro trente et un cinq" (expression que les pros utilisent à tour de bras...). Et j'ai un peu sué quand même...
Donc au départ il y avait ça...
Et après quelques coups de pelle et plusieurs remorques de cailloux, il y a maintenant ça...
Tout ça nous a bien sûr donné envie de continuer à aménager l'entrée.
Et comme ce chemin est destiné, à terme, à ne faire plus qu'un avec un "parking" attenant, contact a été pris avec une entreprise pour améliorer ce qui n'est, pour l'instant, qu'une friche un peu dégeu, où je dépose régulièrement toutes les caillasses trouvées dans la pelouse, les mauvaises herbes arrachées, et où de temps en temps je fais un feu pour brûler les cartons et autres branchages encombrants.
Pas bien joli tout ça! Et Madame et moi commençons à en avoir assez de cette vilaine friche !
Le jeu consiste donc à aplanir le futur parking, écrêter le chemin d'accés (pour l'instant trop bombé), poser un géotextile, faire un premier empierrement en "zéro trente et un cinq", puis un deuxième en "zéro vingt". Cela étant fait, je me réserve l'étalement de la couche de finition en petits cailloux blancs ainsi que la pose de pavés sur tous les pourtours pour contrer l'envie des cailloux d'aller s'établir dans la pelouse !
Il ne restera ensuite qu'à monter deux jolis piliers et un portail, installer la clôture sur le dernier coté, cacher la poubelle par un joli treillage en bois, planter un platane au milieu du parking pour bénéficier de son ombre, et notre entrée devrait enfin ressembler à quelque chose. Mais y a encore du pain sur la planche !
Bon, en attendant, l'entreprise passe demain pour faire un devis. On va voir si tout ça coûte un bras ou juste le petit doigt...